Comment tuer les cellules cancéreuses naturellement ?
Le cancer Traitements naturels complémentaires pour le cancer , connu depuis les temps anciens et longtemps considéré comme une maladie incurable, arrête les évocations très sombres. Heureusement, les progrès médicaux aujourd’hui permettent de traiter de plus en plus de cancers.
Plan de l'article
- Qu’ est-ce que le cancer et quels sont les différents types de cancer ?
- Causes et principaux facteurs de risque
- Comment prévenir les maladies et les rechutes ?
- Quels traitements conventionnels y a-t-il ?
- Quels sont les principes actifs et les molécules naturelles qui ont fait l’objet de nombreuses études et méta-analyses ?
- Précautions et contre-indications pour certaines molécules naturelles dans les traitements conventionnels
- Autres approches psychoémotionnelles, spirituelles et énergiques en co-traitement
Qu’ est-ce que le cancer et quels sont les différents types de cancer ?
Le cancer désigne la prolifération incontrôlée de cellules anormales qui pénètrent et contaminent les tissus sains voisins. Parfois, les cellules cancéreuses se détachent de leurs sites d’origine pour donner naissance à d’autres foyers secondaires appelés « métastases ».
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En regroupant les maladies résultant d’un dysfonctionnement cellulaire, les cancers diffèrent selon le type de tissu dans lequel ils se sont développés. carcinomes apparaissent soit au niveau des tissus des revêtements internes de organes et glandes comme le sein ou la prostate ; soit à l’extérieur comme peau dans le mélanome. Les sarcomes se produisent maintenant lorsque les cellules cancéreuses affectent les os, les muscles rayés ou la graisse. Dans les cancers hématopoïétiques, le sang et les organes lymphoïdes sont affectés. Entre autres choses, nous parlons de leucémie et de lymphome.
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Causes et principaux facteurs de risque
maladies multifactorielles, les cancers peuvent être causés par diverses causes, y compris le mode de vie, l’environnement Les et le patrimoine génétique.
Les facteurs dits « évitables » sont associés aux habitudes de vie telles que le tabagisme, le mode de vie sédentaire, l’alcool ou le déséquilibre alimentaire. Les risques de cancer peuvent également augmenter selon notre environnement, comme le rayonnement solaire, la pollution, les virus et les bactéries.
Les facteurs « inévitables » comprennent des éléments tels que la pré-augmentation, l’érosion corporelle et le sexe.
Le traitement d’un premier cancer par chimiothérapie ou radiothérapie peut être favorable à l’apparition de la maladie.
Le patrimoinegénétique est également un facteur de risque, puisque le cancer est héréditaire dans prèsde 10% des cas et correspond à l’expression de la prédisposition génétique. Cependant, cette expression est modulée par l’épigénétique (ou l’influence de notre environnement et de notre mode de vie sur l’expression de nos gènes).
Comment prévenir les maladies et les rechutes ?
La meilleure prévention du cancer consiste à réduire le facteur de risque « évitable » et à réduire les chances que les gènes s’expriment (épigénétique positive) . Dans 40 % des cas, le cancer aurait été évité par un bon mode de vie, une alimentation adéquate et une protection contre les toxines, les polluants et d’autres perturbateurs endocriniens peut être.
Le risque de cancer bronchique augmente à la fois avec la durée du tabagisme et avec la dose de tabac fumé. En tant que cancérogène détecté, l’alcool augmente le risque de cancer du tractus aérogénérateur supérieur, du sein, de l’œsophage, du foie et du côlon. De nombreux cas de cancer de l’endomètre, de la prostate, des reins, du pancréas, des poumons sont causés par l’obésité et le manque d’activité physique.
Une alimentation équilibrée aide à réduire ces facteurs de risque. Cela nécessite de limiter la consommation de viande rouge, de charcuterie,de selet de produits industriels riches en matières grassesou de sucre. Au lieu de cela, vous devriez choisir des aliments anti-cancéreux , y compris les fruits et légumes riches en antioxydants, vitamines et fibres ; légumineuses, entières et semi-complètes Céréales.
Parallèlement,l’exposition à des perturbateurs toxiques et à d’autres perturbateurs endocriniens doit être évitée . Ceux-ci se produisent dans notre environnement quotidien, que ce soit dans l’air, l’eau ou les aliments sous forme de pesticides et d’additifs alimentaires, résidus d’hormones dans la viande, emballages plastiques…
Facteur de stress
Un bon développement personnel et spirituel ainsi qu’une bonne gestion du stress et des émotions sont enfin propices à la prévention du cancer. Un « esprit sain dans un corps sain » améliore quotidiennement la qualité de vie et désavantage les facteurs de risque.
On sait maintenant que l’un des plus grands facteurs de développement ou d’aggravation de la maladie est le stress , même avant de fumer ou un mauvais mode de vie.
Une méta-analyse de 2011 a même permis d’objectiver que la pratique de la méditation pleine conscience est la a amélioré le bien-être des patients atteints de cancer et une meilleure qualité de vie en réduisant les symptômes liés au stress.
D’ autre part, une nouvelle discipline se concentre également sur les conséquences et les effets du stress sur le système hormonal et le système immunitaire ; c’est la PSYCHO-NEURO-ENDOCRINO-IMMUNOLOGIE .
Quels traitements conventionnels y a-t-il ?
Les principaux traitements contre le cancer sont la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie.
La chirurgie est une procédure médicale qui implique l’élimination de la tumeur ou du tissu cancéreux de sa place pour prévenir la propagation du cancer des cellules.
Avec l’aide de la radiothérapie, la radiothérapie vise à détruire les cellules infectées pour les empêcher de croître et de se diviser.
Le traitement médicamenteux vise à détruire les cellules cancéreuses. Dans le cas de la chimiothérapie, ils aident à ralentir leur croissance. Dans le Dans le cas de l’hormonothérapie, ils visent à prévenir sa propagation en renforçant la capacité du système immunitaire. Dans le cas de l’immunothérapie, ils aident à lutter contre le cancer.
Quels sont les principes actifs et les molécules naturelles qui ont fait l’objet de nombreuses études et méta-analyses ?
Sélénium, vitamine C et autres antioxydants
Les antioxydants (ou co-facteurs) sont inclus dans notre alimentation sous forme de vitamines A, C et E ou de minéraux tels que le sélénium et le zinc. Resvératrol, thé vert, curcuma, quercétine et autres substances alimentaires… sont également riches en antioxydants. Indépendamment de leur origine, les antioxydants ont pour tâche de lutter contre l’oxydation cellulaire et la formation de radicaux libres. En limitant les dommages causés par les cellules cancéreuses et en combattant leur propagation aux tissus voisins, les antioxydants sont impliqués dans le traitement du cancer. En plus de l’irradiation ou La chimiothérapie limite les effets secondaires et la toxicité des traitements médicamenteux puissants. Les résultats des études permettent de corréler une diminution de la mortalité, en particulier avec la supplémentation en sélénium.
quercétine
Quercétine est contenue dans l’ail, les oignons rouges, les câpres, les haricots verts, le thé, le chou, les baies, les raisins et les pommes, et a des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires. Il est également reconnu comme propriétés anticancéreuses.
Le Berbère
La berbérine est un alcaloïde biologique jaune amer naturel. C’est un alcaloïde naturel biologique jaune amer. Avec antibactérien, antiviral, antimycotique, anti-âge, anti-inflammatoire, antiarythmique et métabolique, la berbérine est un agent chimio-préventif et thérapeutique important.
curcuma
Épice d’origine indienne de jaune prononcé, curcuma a anti-inflammatoire et antioxydant Propriétés. Ralentir le processus de développement des cellules cancéreuses et des métastases, en plus de la radiothérapie et de la chimiothérapie, il intervient également efficacement dans le traitement du cancer du cœur, du sein et du foie.
Resvératrol
Resvératrol est contenu dans les raisins, en particulier dans les graines et la peau des tons rouges et des roses, et est un puissant antioxydant et anti-inflammatoire. Des études de laboratoire ont permis de démontrer son efficacité dans la prévention de certains types de cancer. Comme une amélioration de la pharmacothérapie, il a des propriétés anticancéreuses notoires.
phycocyanine
La phycocyanine, un pigment bleu trouvé dans la spiruline et le klamath, est la substance qui capture l’énergie solaire pour la convertir en énergie biochimique. Les propriétés de cette molécule dans le traitement des maladies, y compris le cancer, résident dans sa capacité à détecter, par exemple, les photons lumineux de la radiothérapie dans le cancer et à utiliser. Ainsi, il potentialise ses effets, ce qui réduirait les doses de traitement. Il a également des propriétés antioxydantes, anti-prolifératives et pro-apoptotiques, et certains médicaments anticancéreux contiennent même des dérivés. Dans le cas de la leucémie permet de relancer la production de cellules souches et de normaliser la quantité de globules rouges.
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Champignons Shiitake/Maitake/Reishi
Les champignons asiatiques tels que Maitake, Shiitake et Reishi trouvent leurs avantages dans les polysaccharides bêta-glucanes. Ils sont connus en médecine traditionnelle pour leur capacité à améliorer le système immunitaire et à renforcer les défenses naturelles de l’organisme, même dans un environnement bactérien ou viral important. En plus de la chimiothérapie, ils sont également reconnus comme un effet antitumoral significatif.
crucifère
À crucifères comprennent le brocoli, les choux de Bruxelles et les choux bouclés. Leur propriété anticancéreuse réside dans leur concentration de sulforaphane. Des recherches menées par l’Université de Havard — États-Unis ont conclu, entre autres choses, que les légumes peuvent prévenir certains cancers, même traiter et supprimer les tumeurs.
Fruits rouges
Les fruits rouges tels que la grenade, les bleuets, les fraises, les framboises, les mûres, les cerises et les raisins sont caractérisés par la présence d’acide ellagique et d’anthocyanidines. Riches en antioxydants, les fruits rouges sont recommandés pour ralentir le développement et la reproduction des cellules cancéreuses et tumorales. Afin de profiter pleinement des avantages de ces fruits, il est conseillé de les consommer bien frais.
Thé vert et Matcha
Le thé vert est riche en catéchine et est connu pour sa capacité à renforcer les défenses naturelles et à améliorer le système immunitaire. Dans le cadre du traitement du cancer, cette boisson ralentit la propagation de la maladie à de nouveaux tissus sains et améliore la qualité de vie dans le cas de la radiothérapie. En fait, les effets secondaires tels que les vomissements et la diarrhée sont atténués, ce qui est fréquent dans les procédures pelviennes et abdominales. Le thé vert s’avère anticancéreux dans la leucémie lymphoïde, le cancer du sein, de la prostate ou de la peau.
soja
Avec une teneur élevée en genistéine, daidzéine ou isoflavones glykétéine, le soja ont des propriétés anti-cancéreuses, en particulier dans le traitement et la prévention de la récidive du cancer du sein. Le soja est consommé sous forme de lait, yogourt, tofu, miso ou tempeh, aidant à soulager les symptômes de la ménopause, des troubles hormonaux et du cancer du sein. Cependant, il n’est pas recommandé d’utiliser la forme de compléments alimentaires pour des antécédents de cancer hormono-dépendant.
De l’autre Les croyances latérales et contre-circulantes, la consommation de produits de soja, les légumineuses, qui sont riches en phytoestrogènes, ne sont pas contre-indiqués même dans le cancer du sein, bien au contraire. Cela a montré des études approfondies dans lesquelles les taux de rechute et de mortalité avec un apport alimentaire plus élevé de phytoestrogène sont considérablement réduits ; rapport sur la santé et la nutrition, Dr Jean-Paul Curtay
Dans le cadre d’une approche visant à corriger les déficits nutritionnels globaux et à fournir une meilleure protection anti-inflammatoire et antioxydante, nous examinerons également les niveaux de vitamine D et porterons attention à l’équilibre nutritionnel de l’ Oméga 3 EPA-DHA .
En général, la prévention du cancer ou la récidive peut être combinée avec un régime anticancéreux (riche en plantes, aussi crues que possible, pauvres en viande et produits industriels, sucre, graisses saturées, riches en épices anti-inflammatoires, etc.) , Gestion des émotions, activité physique à jeûne (intermittent, eau, hebdomadaire) en fonction des capacités et contre-indications possibles.
Précautions et contre-indications pour certaines molécules naturelles dans les traitements conventionnels
L’ utilisation de molécules naturelles dans le traitement du cancer a ses limites. En fait, l’efficacité des traitements naturels est basée sur les doses prises. Trop faibles, ils n’ont aucun effet, mais sont trop forts, ils peuvent avoir un effet nocif et toxique sur un organisme faiblement immunitaire. Parfois, ils peuvent réduire l’effet des traitements conventionnels et médicamenteux, y compris ceux qui ont des effets oxydants comme la radiothérapie et les antibiotiques antitumoraux comme la bléomycine ou la mitomycine.
Protocoles anticancéreux en 2019
Introduit en conjonction avec un régime cétogène Le processus métabolique du Dr Laurent Schwartz trouve sa base dans l’ « effet Warburg », qui a été découvert en 1956. Lorsque les cellules normales brûlent du sucre pour produire suffisamment d’énergie, les cellules cancéreuses anormales semblent se diviser et se multiplier pour répondre à un trouble cellulaire dont elles souffrent. Le traitement métabolique consiste alors à rétablir la fonction mitochondriale pour ralentir la progression du cancer et ramener les cellules cancéreuses à leur état normal.
Les substances actives utilisées dans le traitement métabolique sont le lipoate de R de sodium (forme active et biodisponible de l’acide alpha lipoïque, un puissant antioxydant) et l’hydroxycitrate.
L’ approche thérapeutique métabolique est combinée avec un régime cétogène, c’est-à-dire faible en sucreet riche en graisses . Pour ralentir la prolifération des cellules cancéreuses, publié dans Nutrition et métabolisme en 2011 souligne le potentiel anticancéreux d’un régime riche en gras. Dans le cadre de ce régime, en plus d’un apport végétal très élevé, nous préférons le beurre, les avocats, les œufs, le poisson, la viande ou la volaille, éliminant les pâtisseries, les fruits, les pommes de terre, tous les produits raffinés et industriels, ainsi que le sucre, mais aussi les céréales et les légumineuses. De cette façon, le corps va puiser de l’énergie des lipides, qui se transformeront en acides gras et en corps cétoniques.
l’approche métabolique et la nutrition cétogène pour le traitement du cancer demeurent au stade expérimental. Dans une revue publiée dans le Journal of Human Nutrition and Diététique en 2018, l’extrapolation des bienfaits d’un tel traitement chez l’homme n’est pas encore définitive. Par conséquent, il doit être pris avec prudence et une dose modérée en association avec des traitements conventionnels tels que la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie peut être appliqué. Un minimum est défini sur être dirigé vers unrégime anticancéreux, anti-inflammatoire, antioxydant et alcalinisant Cependant, .
Deux associations fournissent de l’information sur ces protocoles : le Dr Laurent Schwartz, https://guerir-du-cancer.fr/ et « Cancer and Métabolisme » www.cancer-et-métabolisme.com
REMARQUE : Toutes les informations contenues dans cet article et plus généralement sur ce blog sont fournies à titre informatif. Elles ne constituent en aucun cas un traitement. Les praticiens appropriés devraient être contactés. Les nutraceutiques présentés ici ont des propriétés physico-chimiques qui nécessitent, comme tout autre produit de la substance active, de prendre des précautions et de s’informer auprès de son médecin ou d’un autre thérapeute compétent sur les interactions médicamenteuses possibles entre les molécules ou lors de la prise simultanée d’autres médicaments. Compléments alimentaires ou les conséquences d’un surdosage et d’une utilisation prolongée.
Autres approches psychoémotionnelles, spirituelles et énergiques en co-traitement
Des approches complémentaires contribuent à la lutte contre le cancer, en particulier pour soulager ses symptômes en plus des traitements traditionnels. Leur efficacité est due à l’interaction entre les émotions, les pensées et le corps physique pour assurer le bien-être du patient et agir sur le développement de la tumeur. Ils peuvent améliorer le bien-être physique et mental, réduire la fatigue, l’anxiété et le stress, et fournir sérénité, plaisir et tranquillité. Ils affectent la qualité du sommeil et améliorent l’appétit. Ces approches complémentaires peuvent également prendre la forme de la prière, de la pensée positive et de la psychologie, de l’orthophonie ou de la thérapie énergétique.
Prière et spiritualité
Premièrement, la spiritualité peut aider la personne malade à trouver un sens dans la vie et une raison d’être. Il y a encore de l’espoir Amélioration pour vivre et prospérer mieux malgré l’inconfort physique. Deuxièmement, il aide à développer un environnement positif autour d’eux et aide les croyants à gagner en confiance et à maintenir un esprit positif.
Psychologie positive
Grâce à la psychologie positive, l’idée est de se concentrer sur les pensées et les émotions qui déclenchent une cascade hormonale favorable au bien-être et permettent d’aborder la maladie d’une manière différente.
Certes, les pensées positives ne guérit pas le cancer. D’un autre côté, ils aident à ne pas se renforcer négativement tout en percevant les risques réels.
En outre, les soins psycho-énergétiques et psycho-physiques visent à équilibrer les énergies et à harmoniser les chakras. Le principe de ces outils de traitement complémentaire est basé sur l’écoute de l’inconscient pour interpréter et soulager l’inconfort.
Décodage des maladies
L’ orthophonie permet de déchiffrer l’apparition de maladies, puis de les interpréter. La thérapie analytique et le décodage biologique permettent d’améliorer encore la compréhension et l’acceptation de la maladie tout en travaillant à la résolution des conflits internes. Face à des œuvres telles que celles du Dr Hamer, le livre du Dr Pierre-Jean Thomas-Lamotte, « Et si la maladie n’était pas un accident… » ou un autre livre sur le symbolisme des maladies et en identifiant les chocs contradictoires, les thérapeutes peuvent aider la personne à traiter les problèmes qui ont causé la maladie et les traiter à leur source.
Énergie chinoise
Enfin, l’approvisionnement énergétique de la médecine chinoise joue également un rôle important dans les approches complémentaires du traitement du cancer. Ils sont basés sur la capacité des thérapies énergétiques, qui peuvent être Symptômes de la maladie et soulager les effets secondaires tels que la fatigue, la douleur ou l’anxiété. Quelles que soient les formules choisies, ces thérapies doivent être utilisées dans le traitement avec des approches conventionnelles et visent uniquement à améliorer la qualité de vie des patients.
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