Quel cancer peut donner mal au dos ?

La douleur a souvent des caractéristiques qui la distinguent des autres.
Il n’est pas rare que les personnes souffrant de maux de dos avec un cancer du poumon ou, comme premier symptôme, ont même des maux de dos. Bien que cela puisse sembler une association inhabituelle – reliant le dos aux poumons – il y a des caractéristiques aussi révélatrices qu’uniques. Les principaux sont l’emplacement et la nature de la douleur que vous ressentez, ce qui est très différent de votre mal de dos chronique typique.
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Au total, environ 25 % des personnes atteintes d’un cancer du poumon déclareront éventuellement des maux de dos comme symptôme.
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Comment le cancer du poumon et les maux de dos sont-ils liés ?
Si vous pensez aux maux de dos, la dernière chose qui vous vient à l’esprit est le cancer. Au lieu de cela, nous l’associons à des choses comme un traumatisme physique (perte musculaire ou rupture de plaque) ou une maladie dégénérative (comme l’arthrite ou l’ostéoporose).
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Bien que les maux de dos causés par le cancer du poumon présentent des similitudes dans bon nombre de ces maladies, ils ont aussi leur propre différence. La plupart d’entre eux sont liés à la façon dont le cancer cause directement et indirectement la douleur et à l’endroit où le cancer cause la douleur. Voici quelques-unes des façons possibles que le cancer du poumon peut causer des maux de dos :
- La pression directe qu’une tumeur peut plus que jamais exercer sur la structure du dos, du milieu au haut du dos, plutôt du milieu au haut du dos, que sur le bas du dos.
- La façon dont une tumeur maligne peut irriter les nerfs qui servent la paroi du poumon et la paroi thoracique, provoquant des douleurs nerveuses aiguës et parfois chroniques.
- La propagation (métastases) de la malignité des poumons à la colonne vertébrale et les os, un événement de plus de 30% des personnes atteintes d’un cancer du poumon.
- métastases du cancer dans les glandes surrénales (à 40 Pourcentage de personnes atteintes de cancer du poumon), ce qui provoque des douleurs en raison de son emplacement directement au-dessus du rein localisé.
Symptômes pouvant indiquer un cancer du poumon
Les symptômes de maux de dos associés au cancer du poumon sont divers et se chevauchent considérablement avec les maux de dos causés par d’autres maladies. Toucher la colonne vertébrale, il peut imiter de nombreux symptômes de blessure au haut du dos.
Les maux de dos associés au cancer du poumon peuvent être généralisés sous forme de douleurs musculaires ou aiguës comme nerf pincé. Les personnes atteintes de glandes surrénales se plaignent parfois de « douleurs rénales » d’un côté du dos ou décrivent le sentiment d’avoir reçu des « coups aux reins ».
Cela dit, les maux de dos associés au cancer du poumon peuvent montrer des signes révélateurs. Alarme signale que les maux de dos dus au cancer du poumon peuvent être attribués sont :
- Maux de dos au repos
- Le mal de dos le plus intense la nuit
- Douleur de dos qui se produit sans aucune activité.
- Maux de dos qui empirent quand vous restez au lit.
- Maux de dos, qui est aggravé si vous respirez profondément.
- Maux de dos qui ne répond pas à la physiothérapie ou à d’autres procédures médicales.
En outre, les maux de dos, qui s’accompagnent d’autres signes révélateurs, tels que la toux persistante, l’essoufflement, le poids involontaire, la fatigue chronique ou l’hémoptysie, peuvent soutenir davantage la probabilité de cancer du poumon.
Les maux de dos associés à une fracture de la colonne vertébrale devraient également rappeler le cancer du poumon. Avec le cancer du poumon métastatique, les métastases osseuses surviennent chez environ 40% des personnes. Les lieux de distribution les plus courants sont les colonne vertébrale et les gros os des jambes. Le cancer, ce qui conduit à la fragilité et la faiblesse de l’os en raison de la pénétration dans les vertèbres, et des fractures de compression peuvent souvent survenir.
Les fractures qui se produisent dans un os affaibli par le cancer sont appelées fractures pathologiques. Un signe qui indique qu’une fracture de compression de la colonne vertébrale est liée au cancer du poumon (au lieu de l’ostéoporose) est une fracture qui se produit avec un minimum de traumatisme.
Traitement des maux de dos chez les personnes atteintes d’un cancer du poumon
Le traitement des maux de dos chez les personnes atteintes d’un cancer du poumon dépend en grande partie de la cause sous-jacente. Si la douleur est liée à la pression causée par une tumeur, les traitements peuvent inclure une chirurgie, une chimiothérapie ou une radiothérapie pour en réduire la taille. Si des métastases osseuses sont présentes, l’association de radiothérapie fournit avec des médicaments connus sous le nom de bisphosphonates (utilisés pour traiter l’ostéoporose) et le dénosumab, en règle générale, réduire considérablement la douleur (et réduit également le risque de fractures par l’os affecté).
En fin de compte, il existe de nombreux moyens efficaces pour soulager les maux de dos sévères associés au cancer du poumon. Malheureusement, trop de gens essaient de résister au contrôle de la douleur, soit parce qu’ils ont peur de devenir dépendants, soit parce qu’ils craignent que les médicaments ne soient moins efficaces quand ils en ont vraiment besoin. « Ces deux craintes ne sont pas fondées si les médicaments sont pris comme prescrit.
Les résultats de la recherche suggèrent que le délai entre l’apparition des symptômes et le diagnostic du cancer du poumon est d’environ 12 mois. Cela est souvent dû au fait qu’une personne ne reconnaît pas les symptômes ou les ignore activement, en espérant qu’ils disparaîtront. Ceci s’applique surtout quand il s’agit de maux de dos, que beaucoup considèrent comme une pure réalité de la vie, à laquelle nous devons faire face.
Cependant, si une douleur dans le dos n’a aucun sens pour vous, s’aggrave et ne répond pas aux traitements typiques, ne supporte pas. Consultez un médecin et discutez de tout autre symptôme qui peut apparaître. S’il s’agit d’une question de cancer, le diagnostic précoce permet un traitement précoce, ce qui augmente la probabilité de guérison.